
WeTransfer recule sur l’IA après la colère des photographes
WeTransfer forcé de modifier ses conditions d'utilisation après des protestations de photographes inquiets que leurs fichiers soient utilisés pour entraîner des IA.
WeTransfer forcé de modifier ses conditions d'utilisation après des protestations de photographes inquiets que leurs fichiers soient utilisés pour entraîner des IA.
Un juge fédéral américain a statué qu'Anthropic peut légalement entraîner ses modèles d'IA sur des œuvres protégées par le droit d'auteur sans permission en invoquant le "fair use", une décision historique qui pourrait influencer tous les futurs litiges entre artistes et entreprises d'intelligence artificielle.
La SGDL, le SNAC et le SNE assignent Meta pour imposer le respect du droit d’auteur aux développeurs d’outils d’intelligence artificielle générative.
La cour d'appel fédérale américaine a statué à l'unanimité que les images créées uniquement par l'intelligence artificielle ne peuvent pas bénéficier de la protection du droit d'auteur, car la loi exige qu'une œuvre soit autorisée en première instance par un être humain.
Au cœur du débat sur l'intelligence artificielle, les auteurs et la Société des Gens de Lettres contestent l'utilisation non autorisée de leurs œuvres pour l'entraînement des IA, soulignant l'importance d'un droit d'opposition (opt-out) pour protéger leurs droits d'auteur face à ce qu'ils considèrent comme une exploitation illégitime de leurs créations.
Un appel commun lancé par les organisations d’artistes et d’auteurs : ADAGP, Adami, Sacem, Scam, SGDL, Spedidam
WeTransfer forcé de modifier ses conditions d'utilisation après des protestations de photographes inquiets que leurs fichiers soient utilisés pour entraîner des IA.
Un juge fédéral américain a statué qu'Anthropic peut légalement entraîner ses modèles d'IA sur des œuvres protégées par le droit d'auteur sans permission en invoquant le "fair use", une décision historique qui pourrait influencer tous les futurs litiges entre artistes et entreprises d'intelligence artificielle.
La SGDL, le SNAC et le SNE assignent Meta pour imposer le respect du droit d’auteur aux développeurs d’outils d’intelligence artificielle générative.
La cour d'appel fédérale américaine a statué à l'unanimité que les images créées uniquement par l'intelligence artificielle ne peuvent pas bénéficier de la protection du droit d'auteur, car la loi exige qu'une œuvre soit autorisée en première instance par un être humain.
Un appel commun lancé par les organisations d’artistes et d’auteurs : ADAGP, Adami, Sacem, Scam, SGDL, Spedidam
WeTransfer forcé de modifier ses conditions d'utilisation après des protestations de photographes inquiets que leurs fichiers soient utilisés pour entraîner des IA.
Un juge fédéral américain a statué qu'Anthropic peut légalement entraîner ses modèles d'IA sur des œuvres protégées par le droit d'auteur sans permission en invoquant le "fair use", une décision historique qui pourrait influencer tous les futurs litiges entre artistes et entreprises d'intelligence artificielle.
La SGDL, le SNAC et le SNE assignent Meta pour imposer le respect du droit d’auteur aux développeurs d’outils d’intelligence artificielle générative.
WeTransfer forcé de modifier ses conditions d'utilisation après des protestations de photographes inquiets que leurs fichiers soient utilisés pour entraîner des IA.
La cour d'appel fédérale américaine a statué à l'unanimité que les images créées uniquement par l'intelligence artificielle ne peuvent pas bénéficier de la protection du droit d'auteur, car la loi exige qu'une œuvre soit autorisée en première instance par un être humain.
Un juge fédéral américain a statué qu'Anthropic peut légalement entraîner ses modèles d'IA sur des œuvres protégées par le droit d'auteur sans permission en invoquant le "fair use", une décision historique qui pourrait influencer tous les futurs litiges entre artistes et entreprises d'intelligence artificielle.
La cour d'appel fédérale américaine a statué à l'unanimité que les images créées uniquement par l'intelligence artificielle ne peuvent pas bénéficier de la protection du droit d'auteur, car la loi exige qu'une œuvre soit autorisée en première instance par un être humain.
Au cœur du débat sur l'intelligence artificielle, les auteurs et la Société des Gens de Lettres contestent l'utilisation non autorisée de leurs œuvres pour l'entraînement des IA, soulignant l'importance d'un droit d'opposition (opt-out) pour protéger leurs droits d'auteur face à ce qu'ils considèrent comme une exploitation illégitime de leurs créations.
Un juge fédéral américain a statué qu'Anthropic peut légalement entraîner ses modèles d'IA sur des œuvres protégées par le droit d'auteur sans permission en invoquant le "fair use", une décision historique qui pourrait influencer tous les futurs litiges entre artistes et entreprises d'intelligence artificielle.
La SGDL, le SNAC et le SNE assignent Meta pour imposer le respect du droit d’auteur aux développeurs d’outils d’intelligence artificielle générative.
La cour d'appel fédérale américaine a statué à l'unanimité que les images créées uniquement par l'intelligence artificielle ne peuvent pas bénéficier de la protection du droit d'auteur, car la loi exige qu'une œuvre soit autorisée en première instance par un être humain.
Au cœur du débat sur l'intelligence artificielle, les auteurs et la Société des Gens de Lettres contestent l'utilisation non autorisée de leurs œuvres pour l'entraînement des IA, soulignant l'importance d'un droit d'opposition (opt-out) pour protéger leurs droits d'auteur face à ce qu'ils considèrent comme une exploitation illégitime de leurs créations.
Un appel commun lancé par les organisations d’artistes et d’auteurs : ADAGP, Adami, Sacem, Scam, SGDL, Spedidam