S’inscrivant dans la lignée de six autres objectifs Nokton, ce 28mm vient parfaitement se positionner entre les modèles 21mm et 35mm. Sa focale légèrement grand-angle en fait un objectif polyvalent, particulièrement adapté à la photographie de paysages, de rue, de voyage et de portraits.

Sur le plan technique, l’objectif présente une construction sophistiquée comprenant 10 éléments répartis en huit groupes. Deux éléments asphériques, représentant un total de quatre surfaces asphériques, contribuent à sa qualité optique. Deux éléments supplémentaires à dispersion partielle anormale permettent d’optimiser la correction des aberrations. Cosina revendique une résolution élevée sur l’ensemble de la surface d’image et une maîtrise remarquable des variations chromatiques.

La conception mécanique de l’objectif est particulièrement soignée. Son système de mise au point manuelle intègre un hélicoïde entièrement métallique, travaillé avec une précision exceptionnelle. Une graisse haute qualité garantit un mouvement de mise au point fluide et précis. Les performances de proche sont impressionnantes, avec une distance minimale de mise au point de seulement 0,28 mètres et un rapport de grandissement maximal de 1:1,5, s’approchant des capacités macro.

Esthétiquement, l’objectif reprend les codes des autres Nokton de la marque : une bague de mise au point texturée en diamant, des repères de profondeur de champ, une bague d’ouverture manuelle et une finition métallique semi-mate élégante. Compact et léger, il mesure 55 millimètres de long pour 320 grammes, et accepte des filtres de 49 mm.

Bien que totalement manuel, l’objectif dispose de contacts électriques permettant de transmettre les données EXIF à l’appareil photo. Il est également compatible avec les corrections optiques intégrées des boîtiers Sony. Un paresoleil assorti à la finition de l’objectif est fourni.

Cette nouvelle référence Voigtlander Nokton 28mm f/1.5 représente ainsi une option séduisante pour les photographes en quête d’un objectif grand-angle manuel haut de gamme, alliant performances techniques et élégance stylistique.

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Sony a particulièrement travaillé sur la conception optique pour optimiser la qualité d’image tout en maintenant un poids contenu. L’objectif intègre une construction sophistiquée de 20 éléments en 14 groupes, incluant plusieurs verres spéciaux (trois éléments XA, trois Super ED, trois asphériques et un ED). Le traitement Nano AR Coating II de Sony réduit les reflets parasites.

En tant que membre de la gamme G Master (GM), cet objectif promet une qualité de bokeh exceptionnelle grâce à ses éléments XA et son diaphragme circulaire à 11 lames. L’autofocus, propulsé par quatre moteurs Linear XD, assure une performance remarquable, compatible avec les modes rafale à 120 fps et l’enregistrement vidéo 4K/120p. La distance minimale de mise au point est de 38 cm sur toute la plage focale, permettant un grossissement maximal de 0,23x à 70mm, surpassant les 0,18x du Canon.

L’objectif dispose également d’une bague d’ouverture débrayable, d’une bague de mise au point linéaire et d’une construction tropicalisée. Bien que certains photographes puissent préférer le 24-70mm f/2.8 GM II plus compact et moins cher, ce nouvel objectif offre une alternative intéressante pour ceux qui recherchent une grande ouverture sans sacrifier la polyvalence d’un zoom.

Son prix public est de 3’400.- Frs, un peu exagéré selon moi par rapport à son prix aux USA de $2,899.99.

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L’appareil conserve le capteur CMOS empilé Exmor RS de 50,1 mégapixels, mais bénéficie d’un processeur BIONZ XR plus performant, promettant une meilleure plage dynamique et de meilleures performances en haute sensibilité. Les capacités de prise de vue en rafale restent impressionnantes avec 30 images par seconde sans blackout, enrichies d’une nouvelle fonction de pré-capture permettant d’enregistrer jusqu’à une seconde avant le déclenchement.

L’intelligence artificielle occupe une place prépondérante dans cette nouvelle version, notamment avec le système de mise au point automatique Real-time Recognition AF, capable de suivre divers sujets comme les animaux, les véhicules et les poses humaines. Un nouveau mode “Auto” simplifie l’utilisation en identifiant automatiquement les sujets dans le cadre.

Côté vidéo, l’Alpha 1 II propose des enregistrements en 8K à 30 images par seconde et en 4K à 120 images par seconde, avec une profondeur de couleur de 10 bits en 4:2:2. La stabilisation a été améliorée, offrant jusqu’à 8,5 stops de compensation au centre, particulièrement utile pour les prises de vue à main levée.

Sony a également apporté des améliorations ergonomiques notables, comme l’écran LCD orientable sur 4 axes, une poignée redessinée et un bouton personnalisable supplémentaire. La connectivité n’est pas en reste avec la compatibilité 2.5GBASE-T LAN et 5G via un transmetteur optionnel. L’appareil intègre également la solution d’authentification d’images de Sony, particulièrement pertinente pour les journalistes et les professionnels soucieux de la vérification des images.

En somme, bien que l’Alpha 1 II ne révolutionne pas le marché, il représente une évolution significative et bien pensée du modèle précédent, renforçant sa position d’outil polyvalent pour les professionnels exigeants. Comme vous le savez probablement, je suis un fan des équipements Sony !

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